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Trois chercheurs neuchâtelois avaient 180 secondes pour convaincre

La finale suisse de «Ma thèse en 180 secondes» s’est déroulée jeudi soir à Fribourg. Déception... Aucun Neuchâtelois n’a fini sur le podium.

09 juin 2018, 00:54 / Màj. le 09 juin 2018 à 06:30
Les lauréat des prix en folie jeudi soir à l'Aula magna de l'université de Fribourg.

Devant près de 600 personnes, seize candidats doctorants ont présenté leur travail de longue haleine en trois petites minutes, jeudi soir, à l’Aula magna de l’Université de Fribourg.

Le jury de la troisième finale suisse du concours francophone de «Ma thèse en 180 secondes» a récompensé trois chercheurs, mais aucun sous les couleurs neuchâteloises. C’est Pascale Deneulin, dernière candidate à se présenter face au public, qui a décroché le gros lot de 1500 francs. Est-ce son amour affiché pour le vin qui a séduit? Difficile à dire, alors que la thèse de cette ingénieur agroalimentaire à l’université de Lausanne s’intitule: «Minéralité des vins: étude sémantique et sensorielle d’un concept émergent».

Le second prix de 1000 francs et le prix du public de 750 francs a été remis à Lucas Güniat, chercheur en physique des semi-conducteurs à l’EPFL. Enfin, Marie-Hélène Girard, doctorante en traductologie à l’Université de Genève, a reçu le...

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