Enseignant licencié: mesures pas assez fortes
La commission d’enquête qui s’est penchée sur les décisions prises en 2005, puis en 2010, au sujet de l’enseignant qui...
06.02.2019 17:00Grand Conseil L’affaire de l’enseignant neuchâtelois soupçonné de pédophilie a été évoquée mercredi au Grand Conseil. S’il a été licencié, ce n’est pas pour un acte sexuel présumé.
Après les révélations d’ArcInfo sur un enseignant neuchâtelois licencié pour soupçon de pédophilie, le député Vert Niel Smith a voulu en savoir plus. Et s’assurer que le canton mettait tout en œuvre pour prévenir les cas d’abus sexuels à l’école.
«La tolérance zéro est de mise», a souligné la conseillère d’Etat Monika Maire-Hefti. Celle-ci n’a pas voulu entrer dans les détails de l’affaire en question, qui fait l’objet d’une procédure pénale. Cela dit, si l’enseignant a été licencié, c’est à cause d’un «fait incompatible avec sa fonction, qui n’est pas un acte sexuel présumé sur enfant».
«Nous avons mis en place une politique en avance sur d’autres cantons», a relevé la ministre de l’éducation. Tout enseignant doit fournir un extrait de casier judiciaire à l’engagement. «Mon département contrôle deux fois par année qu’aucun enseignant ne figure sur la liste nationale des personnes qui se sont vues refuser le droit d’enseigner.» Les élèves sont par ailleurs sensibilisés au fait que «leur corps leur appartient et que, dans certaines situations, ils ont le droit de s’opposer à l’autorité».
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