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Téléphoner avec un numéro usurpé n’est pas en soi un délit

L’arsenal légal est bien maigre pour lutter efficacement.

07 avr. 2016, 00:55
Eine Frau arbeitet am 9. September 2008 im Call Center von Quelle in Berlin. Der Touristik- und Handelskonzern Arcandor hat am Montag, 20. April 2009, ein drastisches Sparprogramm angekuendigt. Der Konzern will sich kuenftig auf die profitablen Kernbereiche der Versandhandelstochter Primondo (Quelle) und der Warenhauskette Karstadt sowie auf die Touristiktochter Thomas Cook konzentrieren.  - An employee sits in front of a computer screen in a call center in Berlin, on Tuesday, Sept. 9, 2008. (AP Photo/Miguel Villagran) DEUTSCHLAND QUELLE VERSAND

La mésaventure dont est victime la Caisse cantonale neuchâteloise de compensation (CCNC) met en lumière le phénomène du «spoofing», ou usurpation de numéro téléphonique (notre édition d’hier).

«C’est le premier cas recensé dans le canton de Neuchâtel à notre connaissance», indique le sergent-chef Daniel Favre, responsable prévention et sécurité de la police neuchâteloise. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a jamais eu de cas dans le canton, mais que, s’il y en a eu, ils n’ont pas été dénoncés.

N’importe qui peut être victime de cette pratique, sans pour autant que celui qui appelle à partir d’un numéro usurpé soit conscient que ce numéro est déjà attribué à une personne ou une entité administrative ou économique. Car ce numéro est simplement généré au hasard par un programme informatique.

Aléatoire et automatique

En d’autres termes, l’entreprise de télémarketing a mis au point un système automatique générant au hasard des...

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