Une puce pour suivre les containers à la trace; des horloges atomiques pour synchroniser satellites et téléphones. Un bracelet de sécurité pour désengorger les prisons: ces innovations de l’Arc jurassien ont un point commun: leurs concepteurs ont collaboré avec des chercheurs pour développer leur produit.
Vendredi dernier au Laténium, des entrepreneurs étaient conviés à écouter les témoignages de patrons qui ont fait appel à la Commission pour la technologie et l’innovation (CTI). Cet organisme fédéral de financement aide les entreprises à transformer les idées scientifiques en produits commerciaux.
But de la rencontre: encourager les patrons à lancer des projets. En 2015, 18 entreprises neuchâteloises ont tenté la démarche, selon André Droux, chef conseiller en innovation auprès de la CTI. Le budget moyen alloué à un projet est de 300 000 francs. «Nous finançons des projets scientifiques variés, pas seulement technologiques», a précisé le mentor.
Quand ces deux mondes du...