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Record d'apprentissage en mode dual dans le Canton de Neuchâtel

"Depuis 2008, l’apprentissage en mode dual remporte un succès toujours plus important avec une augmentation de plus d’un tiers de nouveaux contrats en dix ans", indique vendredi la chancellerie d'Etat du Canton de Neuchâtel.

02 nov. 2018, 13:54
Une même tendance est constatée dans l’évolution de la formation en école de métiers à plein temps.

Un nombre toujours plus élevé de contrats d'apprentissage signés a été enregistré dans le Canton de Neuchâtel à la rentrée scolaire 2018. Un record a même été atteint avec 1’659 contrats, soit une hausse de 3% par rapport à 2017.

"Depuis 2008, l’apprentissage en mode dual (entreprise et école) remporte un succès toujours plus important avec une augmentation de plus d’un tiers de nouveaux contrats en dix ans (+435)", indique vendredi la chancellerie d'Etat dans un communiqué.

Une même tendance est constatée dans l’évolution de la formation en école de métiers à plein temps. En 2017, le canton a observé une légère hausse, avec 72,1% des jeunes qui ont choisi cette année ce dernier mode d’apprentissage, contre 71,4% en 2017.

Baisse des effectifs

Au niveau des effectifs des classes de première année, le canton constate une baisse générale, due à l’évolution démographique. La volée d’élèves sortant de l’école obligatoire est petite cette année, avec une diminution de 322 élèves par rapport à 2017.

Les centres de formation professionnelle du canton enregistrent ainsi une baisse du nombre d'apprentis de première année, soit 2’345 élèves, contre 2’517 en 2017. Au total, les centres professionnels comptent 6’016 élèves. "Les domaines "technique", "santé-social" et "commerce et gestion" rencontrent toujours le plus de succès", peut-on lire dans le communiqué.

Réforme du cycle 3

Du côté des lycées, 850 jeunes ont entrepris cette année une formation générale (maturité gymnasiale ou spécialisée et culture générale), contre 908 en 2017. Au total, 2’337 élèves suivent une formation générale.

La rentrée 2018 était la première depuis la réforme du cycle 3 de l'enseignement obligatoire. Monika Maire-Hefti, cheffe du Département de l'éducation et de la famille, constate que le pourcentage d'élèves "lycéables" est plus important, soit 46,6%, contre 43% en moyenne sur les cinq dernières années avec le système avec filières, peut-on lire dans le dossier de presse.

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