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Quatre personnalités regardent la mort en face

A l'occasion de la Toussaint, quatre personnalités neuchâteloises ont accepté de nous confier comment elles imaginent leur fin de vie. Y pensent-elles? La redoutent-elles? La préparent-elles? La présidente du Conseil d'Etat Monika Maire-Hefti, l'entraîneur de football Bernard Challandes, la déléguée culturelle du Club 44 Marie-Thérèse Bonadonna et le metteur en scène Robert Sandoz ont regardé la mort en face.

30 oct. 2015, 18:58
/ Màj. le 31 oct. 2015 à 08:00
La conseillère d'Etat Monika Maire-Hefti.

Le 1er novembre, les cimetières refleurissent à l'occasion de la Toussaint. On pense à nos morts.Mais nous, les vivants, osons-nous nous  la regarder et poser la question de comment nous désirons partir? Quatre personnalités neuchâteloises ont accepté de nous confier comment elles imaginent leur fin de vie. Y pensent-elles? La redoutent-elles? La préparent-elles? La présidente du Conseil d'Etat Monika Maire-Hefti, l'entraîneur de football Bernard Challandes, la déléguée culturelle du Club 44 Marie-Thérèse Bonadonna et le metteur en scène Robert Sandoz ont regardé la mort en face. Les réponses sont évidemment multiples et très personnelles.

Si Monika Maire-Hefti et Marie-Thérèse Bonadonna y pensent régulièrement et comptent bien, idéalement, la préparer, Bernard Challandes et Robert Sandoz la fuient. "Je la refuse un peu cette mort", lâche l'entraîneur de football. "Aller aux enterrements me touche profondèment et c'est pour cela que je ne veux pas y penser. Ca me fait trop mal."

 De son côté la conseillère d'Etat dit croire à une vie après la mort: "Cette espérance-là n'enlève rien à la peur existentielle de l'inconnu. Cette vie après, sera-t-elle belle ou difficile? Aurons-nous tous une vie meilleure? Ma foi m'aide à ne pas avoir peur de la mort. Souffrir m'inquiète par contre."

Retrouvez l'entier de leur témoignages dans nos éditions payantes de samedi.

 

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