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Près de 1200 jeunes Neuchâtelois disent ce qu'ils sont devenus après leur CFC

Sous le titre "CFC en poche, et ensuite?", le Conseil d'Etat neuchâtelois a fait réaliser une vaste enquête sur la situation des personnes qui ont récemment obtenu un CFC. La très grande majorité se sont insérées dans la vie professionnelle ou ont poursuivi leur formation.

16 févr. 2016, 15:10
Portes ouvertes au CPMB Le Centre professionnel des metiers du batiment    Colombier, le 07.11.2015  Photo : Lucas Vuitel

Le système neuchâtelois de formation professionnelle est adapté aux exigences du marché du travail et permet aux détenteurs d’un CFC (Certificat fédéral de capacité) d’exercer rapidement une activité professionnelle, ou alors de poursuivre leur formation. C’est le cas tant pour les formations suivies dans une école professionnelle à plein temps que pour la voie duale – à la fois en entreprise et à l’école –, mais cette dernière donne des résultats encore plus probants.

Telles sont les conclusions auxquelles parvient le Conseil d’Etat à l’issue d’une vaste enquête menée auprès de personnes qui ont obtenu un CFC ou une AFP (Attestation fédérale de formation professionnelle), et cela peu après l’obtention de leur diplôme. Près de 1200 personnes ont pris part à cette enquête.

L’enquête montre par exemple que 59,5% des diplômés se sont insérés dans le monde professionnel et 26% ont poursuivi leur formation.

Un gros bémol: il faut envisager «une profonde restructuration du dispositif de formation dans le domaine informatique–multimédia», domaine dans lequel l’enquête a débouché sur des «résultats insatisfaisants». Il en va de même pour le domaine économie–administration.

Les résultats détaillés de cette enquête, ainsi que les commentaires de la conseillère d'Etat Monika Maire-Hefti, sont à découvrir dans nos éditions payantes de mercredi.

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