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Pour les urgences, l’école privée?

Des parents d’élèves à haut potentiel scolarisent leurs enfants à Yverdon en structure privée, faute de solution trouvée avec l’école neuchâteloise.

12 nov. 2016, 00:40
Schuelerin Nele schaut am Mittwoch, 28. November 2007, im Mathematikum in Giessen auf die Kreiszahl Pi. Auf Lesekompetenz und Mathematik folgen die Naturwissenschaften: Sie sind der Schwerpunkt im juengsten Pisa-Test, dessen Ergebnisse am Dienstag vorgestellt werden. (AP Photo/Bernd Kammerer) ---- Student Nele looks at a circled mathematical constants at the museum "Mathematikum" in Giessen, Germany, Wednesday, Nov. 28, 2007. (AP Photo/Bernd Kammerer) DEUTSCHLAND BILDUNG PISA

Débourser des milliers de francs pour placer son enfant dans une école privée, est-ce toujours un choix élitiste? Pas vraiment. «Nous n’avons pas d’autre solution que de payer 1050 francs par mois si nous voulons que notre enfant reprenne le chemin de l’école. Et ces montants ne sont pas déductibles des impôts», déplore Elena Rallo Jaquemet.

Cette maman de Bevaix a été contrainte de scolariser son fils dans une école privée d’Yverdon, après deux ans de calvaire au sein de l’école publique neuchâteloise. «Tout allait bien jusqu’à ce que mon fils entre en 8e Harmos, à l’âge de 10 ans. Malgré ses bonnes notes, il ne voulait plus aller à l’école et a commencé à souffrir d’angoisses. En 9e année, ça a été le grand clash, sa phobie scolaire s’est amplifiée. Nous avons rencontré plusieurs fois la direction scolaire et après chaque rencontre, nous sortions extrêmement culpabilisés, comme si...

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