Il y a quelques années déjà, elles avaient vacillé. La policlinique du Locle avait fermé temporairement avant de rouvrir. Et au Val-de-Ruz, l’activité de la policlinique de Landeyeux s’était réduite comme peau de chagrin au fil des ans.
Aujourd'hui, l'Hôpital neuchâtelois (HNE) a annoncé la fin de ce qui reste des deux établissements pour le 1er avril 2018. L'HNE les décrit comme deux permanences sous-utilisées. Soit l'équivalent de 1,4 poste de travail pour deux patients par jour au Locle, et 0,8 EPT à Landeyeux pour une visite quotidienne.
Présidente du conseil d'administration de l'HNE, Pauline de Vos Bolay a expliqué aujourd'hui en conférence de presse que la raison des fermetures n'était pas avant tout économique, mais qu'il s'agit d'éviter que des patients soient pris en charge "par une structure non adaptée puisque dédiée à la gériatrie et à la réadaptation".
Le Locle fâché
Si la commune de Val-de-Ruz comprend la...