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Philippe Gnaegi défend l'examen pour certains types de maturités

25 mars 2011, 11:53

Les premiers examens pour les élèves neuchâtelois de 9e année préprofessionnelle ou moderne se sont déroulés il y a deux semaines.

Ils concernent les élèves de moderne ne disposant pas d'une moyenne de 18 points et de préprofessionnelle qui désirent accéder aux maturités professionnelles commerciales, santé, sociale ou en maturités spécialisées dans une Ecole de culture générale (ECG). 

Le chef du Département de l'éducation Philippe Gnaegi se défend de fixer des conditions d'entrée élitistes ou de mettre en place un numerus clausus.

Il convient qu'une septantaine d'élèves ne pourront pas être dirigés lors de la prochaine rentrée vers une formation en école à plein-temps. Il rappelle que ces mesures ont pour but de diminuer le fort taux d'échec des étudiants. Et de citer l'Ecole de commerce avec un taux de 30% lors des 1re et 2e années.

Un autre aspect plus prosaïque motive les autorités. Un étudiant en école à plein-temps coûte 43% plus cher à l'Etat qu'un apprenti.

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