Il y a près d’un an, les sites palafittiques de l’espace alpin étaient portés au patrimoine mondial de l’Unesco. Si ce classement a singulièrement accru la notoriété de la région des Trois-Lacs, valorisé ses richesses archéologiques et stimulé la recherche scientifique, il n’a eu que peu d’effet sur la fréquentation d’institutions comme le Laténium ou le tourisme en général.
Enquête à lire demain dans "L'Express" et "L'Impartial".