Avec la série web "Ma femme est pasteure" où elle incarne un personnage qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau, Carolina Costa casse les codes. Son mari dans la série est également son mari dans la vraie vie. Elle s'exprime sur Dieu, l'humour, l'Eglise, l'ouverture à l'autre,
Vous mettez en scène la mort, la sexualité, la vie de couple, on vous voit danser comme une groupie, vous mettre encolère, imaginer Dieu en femme et montrer Adam et Eve dans un paradis de pacotille... Vous n’avez donc aucun tabou?
Ce sont tous des sujets qui me semblent important, qui font partie de la vie et des questions que les gens se posent.
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Votre série fait un grand usage du second degré, de la satire, de l’humour. N’est-ce pas en contradiction avec la religion?
Je ne fais que suivre mon maître. Jésus a beaucoup utilisé l’humour pour faire passer son message. Lorsque je dis quelque chose avec humour, ce que je fais parfois malgré moi, je remarque que les vérités passent mieux. Car avec l’humour on peut faire passer un message et en même temps on dit à ceux qui nous écoutent: «Je vous aime bien.»
L'interview complète est à déguster dans nos éditions payantes de vendredi.