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"Nous sommes deux, un qui lit les dossiers, l'autre qui les comprend"

Cuche et Barbezat persistent et signent: ils souhaitent se partager un poste au gouvernement cantonal en travaillant chacun à mi-temps. Lettre envoyée à la chancellerie.

30 juin 2012, 00:01
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"Attends, je descends de mon tracteur... Un Hürlimann."

"Tu touches du fric chaque fois que tu donnes la marque?"

A l'autre bout du téléphone, du côté de Lignières, un certain Cuche, Fernand de son prénom et agriculteur de métier. Il répond à un autre Cuche, prénommé Benjamin. Qui lance à l'assistance: "Nous, les Cuche, on est les Kennedy du canton de Neuchâtel!"

La scène se déroule à la gare de Chambrelien, "lieu symbolique où les Neuchâtelois sont capables de faire demi-tour" . C'est là que Cuche et Barbezat ont choisi de dévoiler la suite qu'ils entendent donner à leur volonté de se porter candidats à la succession de Jean Studer (notre édition de mardi). Candidats avec "s", car finalement, plutôt que de lancer l'un ou l'autre dans la course, ils ont choisi "de reprendre une idée émise en 2005 par Fernand Cuche. Elle consiste à partager un poste de conseiller...

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