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Notre micro-trottoir sur l'Hôpital neuchâtelois: "On veut que ça bouge!"

S’il est permis d’entrevoir une sortie de crise avec le "fameux" plan B, la population neuchâteloise paraît, elle, désabusée depuis longtemps. Notre micro-trottoir.

11 oct. 2018, 18:46
L'hôpital Pourtales, à Neuchatel. Infographie: François Allanou

Nous n’avons pas d’autre prétention que d’avoir pris le pouls de la rue durant deux heures. Une à La Chaux-de-Fonds, une à Neuchâtel. Les gens – surtout des retraités – nous ont livré, brut, ce qu’il savent et pensent du casse-tête de l’Hôpital neuchâtelois.

Ce qu’ils souhaitent, – et c’est peut-être là qu’ils vivent sur la même planète que les personnes directement impliquées, «c’est qu’enfin, ça bouge». Car ils ne sont pas satisfaits de la situation sanitaire et politique actuelle.

Pour le reste, la plupart avoue ne plus comprendre grand-chose à ce dossier et ne plus faire confiance au politique. Concrètement, ce que les gens demandent, ce sont des urgences plus efficaces à Pourtalès et un «vrai hôpital» à La Chaux-de-Fonds.

Méconnaissance, lassitude, animosité, espoirs...

La plupart des personnes qui acceptent de répondre ne savent pas – ou alors très vaguement – en quoi consiste le plan B de la...

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