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Neuchâtel avait déjà pris des mesures plus strictes

14 oct. 2013, 00:01
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La création d'un fichier national des prisonniers à hauts risques sera utile s'il améliore vraiment la transmission d'informations entre les milieux concernés et l'évaluation de la dangerosité des détenus. Voilà, en résumé, la position du Département neuchâtelois de la sécurité et de la justice dans l'actuel débat sur les récidivistes notoires.

"Pour dramatiques qu'ils soient, les récents meurtres de Marie et d'Adeline n'ont rien changé au dispositif neuchâtelois, car nous avions déjà pris des mesures strictes d'encadrement qui sont toujours en vigueur" , explique le conseiller d'Etat Alain Ribaux. "Avec l'affaire de Jean-Louis B., qui s'était heureusement bien terminée, notre canton avait subi un électrochoc avant les autres."

Ce récidiviste violent incarcéré à la prison de Gorgier avait échappé aux deux agents de détention non armés qui l'accompagnaient lors d'un pique-nique dans la nature. Après quelques jours de cavale, il s'était rendu à la police.

Contrôler avant et pendant

Depuis...

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