Selon les prévisions météorologiques, les premières masses d'air contaminées lors de l'accident nucléaire survenu au Japon sont bien au-dessus de nos têtes.
Un F-5 Tiger de l'armée suisse piloté par Thierry Goetschmann a décollé hier de Payerne pour effectuer des mesures dans l'atmosphère.
Mais après avoir relevé les données dans le ciel et sur terre, l'Office fédéral de la santé publique ne s'inquiète pas. Il qualifie ces quantités de négligeables et de non-nocives pour la santé.
Mais si les événements devaient évoluer, dans le canton de Neuchâtel, c'est le Groupe catastrophe, dirigé par Jean-François Stähli, chef de la sécurité civile et militaire, qui serait chargé de chapeauter les opérations.