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Monika Maire-Hefti, le courage de réformer l’école neuchâteloise

Monika Maire-Hefti quittera le Conseil d’Etat neuchâtelois après huit ans à la tête de l’Education et de la Famille. Energique, positive et persévérante, elle aura mené des réformes qui n’ont pas toujours plu. Avec poigne. Et sans langue de bois.

21 mai 2021, 17:00
Monika Maire-Hefti tout sourire, en 2016, après le résultat de la votation sur le projet Mobilité 2030.

Un rire franc et communicatif. Un humour piquant. Un langage direct, à l’opposé de la langue de bois. La Neuchâteloise Monika Maire-Hefti a indéniablement marqué les esprits durant ses huit ans à la tête du département de l’Education et de la Famille. Lundi soir, la socialiste quittera le Conseil d’Etat, après avoir mené de nombreuses réformes qui ont parfois soulevé des contestations.

«Elle a incarné l’image d’une politicienne et femme forte et inspirée», relève le député UDC Niels Rosselet-Christ, malgré leurs «visions divergentes». Béatrice Haeny (PLR) salue «l’enthousiasme, le courage et la force de persuasion» de la cheffe de l’Education. «Elle a fait de l’égalité une de ses priorités, elle est un exemple pour toutes celles qui se lancent en politique.»

Le socialiste Jonathan Grétillat parle, lui, d’une «femme politique qui a su se montrer ferme, persévérante et parfois redoutable».

Oui, on peut avoir de la poigne et porter des...

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