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«Malaise» autour du Service neuchâtelois de l’emploi et de son ministre Jean-Nat Karakash

Des partenaires de l’Etat de Neuchâtel disent leur mal à travailler avec Jean-Nathanaël Karakash et son Service de l’emploi. Le départ annoncé du ministre socialiste libérerait-il, un peu, la parole?

30 nov. 2020, 18:00
Le conseiller d'Etat neuchâtelois Jean-Nathanaël Karakash dans les locaux du Service de l'emploi, à La Chaux-de-Fonds.

Cela ne tournerait pas tout à fait rond au Service de l’emploi (Semp) du canton de Neuchâtel. Avant de quitter le Grand Conseil pour rejoindre le Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, le député Vert Patrick Herrmann tire le signal d’alarme. Une partie des reproches qu’il relaie est confirmée par notre enquête. Le conseiller d’Etat aux commandes n’en est pas déstabilisé pour autant.

Sur fond d’une réforme en cours depuis des années au Semp, mais aussi de bonne conjoncture jusqu’en début d’année, le canton a obtenu «des succès réels sur le front du chômage», concède Patrick Herrmann. Mais, il y a «un malaise», selon le titre d’une interpellation au gouvernement, déposée le 1er novembre dernier et cosignée par son collègue popiste Armin Kapetanovic.

«Management autoritaire»

La réforme a apparemment conduit des collaborateurs du Semp à partir faire leur job dans un canton voisin, selon l’élu Vert. Et nombre de ceux qui...

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