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Les sous-traitants de l'industrie horlogère sous la loupe

Fournisseurs de composants, de machines ou de services, les PME de l’Arc jurassien qui agissent dans l’ombre des marques horlogères et microtechniques gagneraient à mieux travailler ensemble.

08 oct. 2018, 00:01 / Màj. le 08 oct. 2018 à 12:00
Etude sur la sous-traitance industrielle BCN/UniNe/CNCI: les entreprises travaillent dans leur coin alors qu'elles ont des intérêts communs.

La Chaux-de-Fonds, le 4 octobre 2018
Photo : Lucas Vuitel

les sous-traitants: dans l’ombre de prestigieuses maisons horlogères, des centaines d’entreprises neuchâteloises réalisent discrètement composants, finitions et autres services. Beaucoup ont diversifié leur activité vers la machine, le médical, le spatial ou l’automobile. Mais jamais vous ne verrez leur nom sur une montre, une voiture ou un satellite.

La sous-traitance, n’est pas une branche organisée. Ensemble disparate de PME, de start-up et de groupes agissant dans des secteurs et des marchés géographiques différents, ces entreprises partagent pourtant un destin commun.

C’est la conviction qui ressort d’une étude présentée jeudi dernier par la Chambre neuchâteloise du commerce (CNCI) et la BCN. Réalisée par l’UniNe, elle a permis d’interroger des responsables d’entreprises sous-traitantes. Certaines d’entre elles ajustent, grâce à leur capacité de travail, la production d’une entité plus grande. D’autres sont sollicitées pour leurs compétences spécifiques.

Ces dernières années, la situation de toutes ces entreprises a évolué. «Les cycles économiques sont...

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