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Les preneurs d'otages ne passeront pas

Forcené à neutraliser, parcours de tir et montée au pas de course au Creux-du-Van: le concours suisse des groupes d'intervention met 65 concurrents très entraînés à rude épreuve.

30 oct. 2014, 00:01
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Cagoule, gilet pare-balles, bouclier et fusil d'assaut en joue, on les voit surtout à la télé, parfois en vrai - aux infos - et plus souvent dans les séries américaines. Car dans la vie réelle, les policiers membres des groupes d'intervention se font discrets. Et même quand ils se présentent à la presse à visage découvert, comme hier, c'est toujours sous leur nom de code: pas question de les identifier, et encore moins de les prendre en photo!

" Nous devons assurer notre sécurité, tout comme celle de notre entourage ", explique "Hawk", chef du Cougar, le groupe d'intervention de la Police neuchâteloise. Un groupe dont l'effectif reste lui aussi secret, appelé à intervenir par exemple lors de prises d'otages ou d'événements spéciaux. Une fusillade dans une école, un forcené qui menacerait les clients d'un centre commercial, voire une toute grosse bagarre ou une descente pour coincer des trafiquants de...

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