«Nous n’abordons pas cette démarche dans le sens du reproche», indique d’emblée Claude Paroz, informaticien et un des initiateurs d’une action pour une meilleur utilisation des logiciels libres par le Service informatique de l’entité neuchâteloise. «Jusqu’à présent, le canton a fait un choix qui pouvait se justifier. Un seul système n’est pas forcément un mal pour la maintenance. Mais celle-ci à un coût. Comme elle est basée sur un logiciel propriétaire, maintenant, elle coûte cher. Et, économiquement, l’argent des licences s’en va. Il part du circuit économique local.» Et de réclamer un état des lieux et une stratégie à court et long terme.
Le canton utilise des logiciels libres. «Nous en avons beaucoup. Dans le cadre de la sécurité, dans la gestion d’infrastructures», confie Jean-Luc Abbet, le chef du service. «Notre stratégie est plutôt de faire de la cohabitation. De prendre le meilleur des deux.»
Plus de détails dans nos éditions payantes de ce lundi 28 décembre