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Les Neuchâtelois se jettent dans 2019

Aux patinoires du Littoral, au parc de l'Ouest, à Bikini Test ou au B'art, des Neuchâtelois s'étaient donnés rendez-vous pour passer le cap. Nous y étions également.

01 janv. 2019, 16:01
Les DJ mettent le feu à la patinoire du littoral, l'un des points de ralliement des fêtards de Suisse romande.

Pour ceux qui ne voulaient pas fêter la nouvelle année chez eux, il y avait l’embarras du choix, le 31 décembre.
Des soirées à thèmes, des dancefloor en folie, de la musique, de l’humour et des paillettes. Certains ont même bravé la gueule de bois et le sommeil pour être les premiers à conquérir les crêtes jurassiennes. Tour d’horizon de la soirée la plus festive de l’année.

Aux patinoires du Littoral

Photo Bernard Python

Les jeunes noctambules se sont retrouvés aux Patinoires du Littoral en nombre. Terrible Style y organisait sa traditionnelle soirée du Nouvel an. Ouverte peu avant 22 heures, la salle a vraiment commencé à chauffer peu avant les douze coups de minuits pour une fête qui s’est prolongée jusqu’au premier matin de 2019.

A Bikini Test

Photo Christian Galley

«Grandiose!» Le retour d’une soirée Nouvel An à Bikini Test, à La Chaux-de-Fonds, fut «un grand succès» avec environ 320 fétards. «C’était merveilleux de voir l’éclectisme des gens, avec des personnes plus âgées au début, puis plus jeunes», apprécie Mirsada Talovic, co-présidente de l’association. «C’est un très bon signe pour relancer le rendez-vous», abandonné depuis 2014.

Le champagne a coulé à flot sur le coup des trois heures, les organisateurs ayant pris le parti de décaler le décompte de la nouvelle année. La salle de concert a d’ailleurs ouvert ses portes à 23h55. «Il y avait déjà deux personnes», sourit la responsable. Le soirée, elle, s’est terminée aux aurores.

Au parc de l’Ouest

Photo Christian Galley

«Chaleureux.» Le mot d’ordre était tout trouvé au parc de l’Ouest, à La Chaux-de-Fonds. Les alentours de la sculpture de Louis Chevrolet se font rempli dans les minutes précédant les 12 coups de minuit. «Je suis content de voir les gens venir passer le cap. On est un bistrot de quartier et on veut que ce soit chaleureux. Le but, c’est que les gens ne passent pas Nouvel An seuls chez eux», dit Adel Ben Hamida, patron du Café de l’Univers.

Quelque 200 personnes ont répondu à l’invitation et beaucoup ont dégusté la soupe et bu une coupette de champagne. Le rendez-vous en était à sa douxième édition et Adel Ben Hamida ne compte pas s’arrêter là, «tant que ça reste chaleureux!»

Le nouveau B’Art tenté par la prohibition

Photo Bernard Python

C’est le petit dernier de la capitale. Ouvert en novembre, le B’Art, aux Beaux-Arts, sert une cuisine inventive de produits locaux et dispose de 10 tireuses à bière réservées à des brasseurs suisses artisanaux sélectionnés par l’équipe. La soirée Années 1920 n’a pas fait le plein au réveillon, mais les happy few stylés à la Caponne se sont réservés une ambiance joyeuse et détendue pour passer le cap de 2019.

Le gérant, Matthieu Caillet, 30 ans, revient à Neuchâtel après avoir couru le monde, de Londres à l’Azerbaïdjan et à la Chine, dans l’organisation d’événements de luxe. Quant au chef du bar, Timothée Voumard, il met une grande culture de la bière et des bons mets au service de la maison. L’ambiance a fini par décoller avec le DJ Colt Seavers.

 

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