Pourquoi les enquêtes administratives ne débouchent-elles pas sur de nouvelles auditions? Est-il vrai que le nombre d'inscriptions à la faculté des sciences économiques est en diminution? Un nouveau doyen sera-t-il nommé à la tête de la faculté d'ici la rentrée?
Les interrogations sont nombreuses en cette fin de mois d'août. Fin août, c'est aussi le délai fixé par la conseillère d'Etat Monika Maire-Hefti aux mandataires privés, recrutés hors du canton, qui mènent les enquêtes administratives ouvertes par le précédent gouvernement neuchâtelois.
Ces enquêtes portent sur des soupçons de plagiat et de mobbing, conformément aux conclusions d'une enquête préliminaire menée sur mandat de l'Université elle-même.
Sur le plagiat seulement?
"Tout ça continue d'être bizarre. De plus en plus bizarre" , commente une personne dont on dira qu'elle connaît de l'intérieur "l'affaire de l'Université de Neuchâtel". Mais qui, vu la tournure des événements (plaintes pénales, perquisitions), souhaite garder l'anonymat. Bizarre pourquoi? Parce...