Chaque année, durant l’automne, on entend ici ou là cette critique: «Mon fils (ou ma fille) n’a pas obtenu le statut sport-études, alors que d’autres qui en sont au même point, eux, l’ont obtenu. Ce n’est pas normal.» Une critique adressée à la direction du centre scolaire – on parle ici de l'école obligatoire – qui a décidé de ne pas accorder ce statut à l’enfant en question.
Fondée, cette critique? Les jeunes talents neuchâtelois ne seraient-ils pas égaux devant le programme sport-études?
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