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«Nous sommes fiers d’être en terminale»

S’estimant stigmatisés par la conseillère d’Etat Monika Maire-Hefti, des élèves de classes terminale de La Chaux-de-Fonds réagissent.

09 nov. 2018, 18:46
Une classe de terminale au collège Numa-Droz à La Chaux-de-Fonds.

«Non, nous ne fumons pas plus de cannabis que les autres. Non, il n’y pas plus de violence entre nous. Et non, nous ne voulons pas plus nous suicider que les autres» Une centaine d’élèves de classes terminale (TE) de La Chaux-de Fonds sont venus discuter d’une enquête présentée fin août à la presse par Monika Maire-Hefti et dire fermement qu’ils ne voulaient pas être victimes de stigmatisation.

Cette enquête sur la victimisation et la délinquance chez des jeunes Neuchâtelois inquiétait la cheffe du Département de la formation et de la famille. Reprenant certaines conclusions des auteurs de l’enquête, elle relevait notamment que «les jeunes des classes TE apparaissent comme particulièrement exposés à des actes de violence.»

Selon l’enquête, ces classes semblent par ailleurs compter des taux plus élevés d’auteurs de harcèlement: «Cette plus grande exposition des jeunes des classes TE à la violence s’accompagne d’une moins bonne santé perçue...

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