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Les crèches qui illuminent le Noël de six personnalités neuchâteloises

Leurs crèches sont placées sous le sapin ou non. Mais en tous les cas, ces "étables" en pailles ou en bois ont illuminé les 24 décembre de leur vie. Six personnalités du canton de Neuchâtel nous les montrent et racontent leur attachement à ces crèches.

22 déc. 2015, 18:50
/ Màj. le 23 déc. 2015 à 06:30
Anne-Christine Pellissier et sa crèche à Engollon

Elles sont en bois, en paille, en verre ou en plâtre. Brut ou colorées. Les crèches dévoilées par six personnalités neuchâteloises appellent aux souvenirs et racontent la magie de Noël. «Contrairement au sapin, la crèche n’était pas une tradition familiale», raconte Anne-Christine Pellissier, présidente de Val-de-Ruz. Avec son époux, elle n’a commencé à mettre en évidence les personnages de la nativité qu’après la naissance de leurs quatre enfants, «pour illustrer le récit de Noël que nous lisons en famille le soir du 24 décembre».

La crèche se conjugue par deux chez Jacques Hainard, l'ancien conservateur du Musée d'ethnographie de Neuchâtel.  Et comme le sapin, elles se préparent aussi à deux: sa femme à la mise en place «et moi je tends les objets!» Inconcevable de ne pas sortir l’âne, le bœuf et le petit Jésus à Noël: «Je viens d’une famille de paysans et à la ferme, aux Bayards, c’était très important. Comme d’écrire au père Noël. Et chaque année, je m’étonnais car mon papa n’était jamais là.»

Retrouvez l'ensemble des témoignages dans les éditions de mercredi.

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