Coordonné par les biologistes du Pôle de recherche national Survie des plantes de l'Université de Neuchâtel, le projet InvaVol s'est vu attribuer une manne de la European Science Foundation de près de 1,5 million d'euros pour une durée de trois ans. Il démarrera ses activités en avril 2011.
Le projet étudiera les conséquences d'insectes envahissants sur les signaux volatiles responsables des interactions entre plantes et insectes. Conçu par Ted Turlings, le directeur du Pôle de recherche national Survie des plantes, il implique un consortium de sept instituts de recherche européen.
Outre Neuchâtel, les six autres institutions sont l'Université de Zurich, l'Université de Nijmegen et le NIOO à Heteren (Pays-Bas), la Swedish University of Agricultural Sciences, ainsi que des chercheurs en Italie (Florence et Naples) et en République tchèque.
InvaVol s'attaque à un vaste problème européen, mais qui apportera aussi des réponses aux pays en développement, notamment au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Une partie des recherches sera aussi entreprise en Egypte. /ats
Le projet étudiera les conséquences d'insectes envahissants sur les signaux volatiles responsables des interactions entre plantes et insectes. Conçu par Ted Turlings, le directeur du Pôle de recherche national Survie des plantes, il implique un consortium de sept instituts de recherche européen.
Outre Neuchâtel, les six autres institutions sont l'Université de Zurich, l'Université de Nijmegen et le NIOO à Heteren (Pays-Bas), la Swedish University of Agricultural Sciences, ainsi que des chercheurs en Italie (Florence et Naples) et en République tchèque.
InvaVol s'attaque à un vaste problème européen, mais qui apportera aussi des réponses aux pays en développement, notamment au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Une partie des recherches sera aussi entreprise en Egypte. /ats