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Le sénateur neuchâtelois Raphaël Comte s'explique

Le Neuchâtelois Raphaël Comte affirme que personne ne lui a demandé de laisser sa place à Berne. Pour lui succéder, le sénateur libéral-radical évoque Philippe Bauer, Laurent Favre ou Alain Ribaux.

02 juil. 2018, 19:25
Raphaël Comte, à droite, avec son collègue sénateur Christian Levrat, socialiste fribourgeois.

Le libéral-radical neuchâtelois Raphaël Comte l’a annoncé vendredi soir à son parti: il ne se représentera pas au Conseil des Etats lors des élections fédérales d’octobre 2019. Un départ sans contrainte, précise le citoyen de Corcelles-Cormondrèche.

Raphaël Comte, votre choix répond-il à une demande du Parti libéral-radical neuchâtelois (PLRN)?
Ma décision est le fruit d’une réflexion menée de manière tout à fait indépendante, sans pression. La direction de mon parti partait de l’idée que je serais à nouveau candidat. Je n’ai aucun indice que ma candidature aurait pu susciter des oppositions. Vendredi, les gens étaient d’ailleurs plutôt surpris et certains ont regretté mon choix.

Tout de même, on dit que vous n’êtes pas toujours sur la même ligne que votre parti...
Je ne suis que très rarement en désaccord avec mon parti cantonal. Au niveau suisse, je ne suis pas le seul Romand à me distinguer sur des questions de...

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