Le 26 janvier 2012: qui ne se souvient pas de cette date dans l’environnement de Neuchâtel Xamax? Dépôt de bilan, faillite: ce jour-là est un jour de deuil. En quelques mois, le nouveau propriétaire du club «rouge et noir», Bulat Chagaev, réduit à néant une histoire quasi centenaire et un palmarès prestigieux.
Pourquoi rappeler ici les méfaits et gestes de ce triste sire? Parce que, s’il y a eu renaissance et que, sept ans plus tard, Neuchâtel Xamax se bat à nouveau dans l’élite nationale, c’est à un homme quasi inconnu à l’époque, amoureux fou du club mais parfait néophyte, qu'il le doit.
Mais Christian Binggeli, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a compris que, s'il voulait continuer à grandir et pérenniser sa place parmi les meilleures équipes du pays, son club avait besoin d’encore davantage.
Le bon grain de l’ivraie
Mais pas question de se jeter dans les...