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Le prof, la mère en deuil et Facebook

Un débat sur la mort d’un bébé à naître suscite la polémique.

06 oct. 2016, 00:46
Blick in den Gebaersaal im Spital Grenchen, am Mittwoch, 29. Januar 2003. Im Streit um die Frauenklinik im Spital Grenchen haelt sich der Kantonsrat zurueck. Waehrend die Regierung die Klinik aus Kostengruenden sofort schliessen will, moechte das Parlament einen Kompromiss suchen. Vor Beginn der Kantonsratssession am Dienstag, 28. Januar 2003 deponierte ein ueberparteiliches Grenchner Komitee eine Petition mit 14'000 Unterschriften. Sie fordert den vollumfaenglichen Erhalt des Akutspitals Grenchen. (KEYSTONE/Dominik Pluess) SCHWEIZ SPITAL FRAUENKLINIK

Perdre son enfant à quelques jours du terme, alors que rien ne permet de soupçonner une telle issue est l’une des pires tragédies qui puissent frapper une future maman et un couple.

C’est arrivé dernièrement à une jeune femme du canton de Neuchâtel. A l’hôpital Pourtalès, où elle se rendait pour le dernier contrôle avant l’accouchement – sans s’inquiéter vraiment du fait qu’elle ne sentait plus bouger son bébé, chose qui arrive en fin de grossesse –, le médecin lui a annoncé la terrible nouvelle. Ensuite, la maman est rentrée à la maison, sachant qu’elle serait délivrée le lendemain.

«Comment comprendre?»

Apprenant l’événement par la bande, l’éthicien et théologien neuchâtelois Denis Müller pose la question suivante sur Facebook à ses plus de 5000 contacts – sans préciser le nom de l’hôpital concerné: «Comment comprendre qu’un hôpital renvoie une jeune femme enceinte à la maison après lui avoir annoncé que son...

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