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Le plan social est refusé

07 déc. 2016, 00:30

Richemont et les syndicats ne sont pas parvenus à se mettre d’accord, à la suite du licenciement collectif de 211 personnes sur cinq sites du groupe de luxe, dont celui de La Côte-aux-Fées.

Les partenaires sociaux se réuniront désormais sous l’égide de leurs instances nationales respectives.

Les ouvriers contestent la nécessité des licenciements. Selon Alessandro Pelizzari, secrétaire régional d’Unia Genève, «le groupe a les moyens d’adapter sa capacité de production sans passer par des licenciements».

Les employés demandent que l’entreprise fasse appel au chômage partiel. S’il devait toutefois y avoir suppression de postes de travail, Alessandro Pelizzari indique que celle-ci pourrait passer par des départs volontaires à des conditions qui seraient à négocier.

Au vu du durcissement des fronts, les négociations doivent se poursuivre sous l’égide des instances nationales du syndicat Unia et de la Convention patronale, comme le prévoit la convention collective en vigueur dans la branche horlogère.

Le...

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