"Au début, quand j’ai commencé d’aider au processus, il s’agissait de voir comment la Suisse pouvait s’engager. Elle est souvent intervenue dans le cadre de la sécurité humaine et la promotion de la paix", relève le conseiller aux Etats neuchâtelois Didier Berberat.
Comment le processus de paix se développe-t-il?
C’est un processus très lent. Il y a une impatience certaine de la communauté internationale. Nous pensions au départ que cela durerait une année environ. Finalement, l’accord a été signé à Alger l’année dernière. Maintenant, il faut concrétiser.
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