Depuis 2015, les restaurateurs neuchâtelois n’ont plus besoin de suivre des cours de cafetiers ou de détenir une patente pour ouvrir. Par contre, la nouvelle loi cantonale en matière de police du commerce les oblige à présenter un concept d’hygiène pour recevoir leur autorisation d’exploiter, une exigence inscrite de longue date dans la législation fédérale. Après trois ans de période transitoire, l’ultimatum est fixé au 31 décembre. Les bistrotiers qui ne se sont pas mis en règle pourraient fermer.
«J’aime pas les lois. Plus il y a de lois, moins ça va pour moi. Mais bon, on est quand même obligés de s’y plier, car l’anarchie, ça ne fonctionne pas...» Avec son franc-parler, son brin de folie et sa bonne humeur communicative, le cuisinier Michel Stangl fait partie des figures...