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Le chef de la police plaide pour la loi sur le renseignement

Débat à la HE-Arc en marge d’une rencontre d’experts.

06 sept. 2016, 00:53
ZUR EIDGENOESSISCHEN ABSTIMMUNG UEBER DEN NACHRICHTENDIENST (NACHRICHTENDIENSTGESETZ) VOM SONNTAG, 25. SEPTEMBER 2016, STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILDMATERIAL ZUR VERFUEGUNG - Un policier regarde les ecrans de la centrale de videopretection au Nouvel Hotel de police ce mardi 14 octobre 2014 a Geneve. Ce projet pilote comprenant 29 cameras de surveillance installees dans le quartier des Paquis, s'inscrit dans le cadre de la mise en euvre de la convention de lutte contre la criminalite, adoptee conjointement par le Ministere public et le Conseil d'Etat du canton de Geneve. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Le commandant de la police neuchâteloise est très favorable à la nouvelle loi sur le renseignement. Il l’a dit lors du colloque «Information, Privacy, Surveillance» organisé à la Haute-Ecole de gestion Arc à Neuchâtel vendredi dernier.

Un de ses contradicteurs du moment, Ludovic Tirelli, avocat à Lausanne, estime que la loi comporte des défauts rédhibitoires. Pour lui, il existe un risque, non réglé dans la loi telle que votée par le Parlement, que des informations récoltées, dans le cadre de la surveillance, à des fins de protection de l’Etat, servent dans le cadre de procédures pénales. Cette porosité entre deux domaines du droit est pointée du doigt comme des entorses potentielles aux droits fondamentaux.

Alain Ribaux approuve ce message

Pascal Luthi, lui, indique «une nécessité absolue» de munir les services de renseignement des possibilités de faire leur travail contre des terroristes potentiels. Il concède que «le texte porte les traces...

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