La décision formelle n’a pas encore été prise. Mais comme tout le monde semble d’accord, on peut se lancer: selon toutes probabilités, le 144, la centrale des appels sanitaires urgents, va rester à Lausanne. Le contrat signé entre l’Etat de Neuchâtel et la fondation qui gère la centrale vaudoise porte jusqu’à fin 2017. Le Conseil d’Etat «estime raisonnable de poursuivre la collaboration pour, dans un premier temps, une durée minimale de cinq ans». Cette collaboration porte également sur les services de garde médicale et la hotline pédiatrique.
Basé sur des exemples concrets (notre éditon du 27 mai), cet avis figure dans un rapport d’information du gouvernement. Or il semble être partagé, cet avis, par les membres de la commission «santé» du Grand Conseil, qui écrivent: «Le plus important pour le bien de la population étant la rapidité de réponse aux appels et d’intervention, on peut considérer que l’alternative choisie...