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La Saint-Valentin: grosse date, petites affaires pour les fleuristes neuchâtelois

Ce mercredi, les fleuristes s’apprêtent à vendre de très nombreuses roses rouges, à des prix supérieurs à ceux pratiqués le reste de l’année. Mais la fête des amoureux n’est pas une si bonne affaire que ça. Les explications de plusieurs commerçants neuchâtelois.

13 févr. 2018, 16:38
Laurie Pellet s’apprête à vendre une grosse centaine de roses mercredi à Travers.

A la gare de Neuchâtel, ce sont quelque 3500 roses qui devraient partir demain mercredi chez Aubert Fleurs. Tous les fleuristes de la région se sont préparés pour une journée hors norme qui verra les amoureux venir chercher un petit cadeau pour leur dulcinée. En y mettant le prix. Pourtant, pour les marchands de fleurs, le 14 février ne rime pas toujours avec affaires.

«La Saint-Valentin, c’est la rose rouge. C’est la fleur que tout le monde veut», dit Emilie Personeni, fleuriste chez Frey Fleurs au Locle. Or, cette demande précise est mondiale et centrée sur une seule journée. C’est un cas unique dans l’année (lire l’encadré).

Depuis l’Equateur

De plus, la rose est très peu produite sous nos latitudes. «La rose locale, c’est extrêmement compliqué en grande quantité. Ou très cher. Les roses viennent essentiellement des pays proches de l’Equateur où elles poussent comme des mauvaises herbes», indique Laurie...

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