«Nos effectifs s’érodent depuis plusieurs années, notamment en raison de la concurrence de la télévision et d’internet. Nous nous engageons dans un chantier délicat: si nous voulons assurer la pérennité de nos activités, nous devons regagner des participants.»
Jean-Luc Renck, président cantonal de l’Université populaire neuchâteloise, dresse un constat préoccupant: depuis 1956, l’Université populaire neuchâteloise propose chaque année au public plus d’une centaine de formations extrêmement variées, à bas prix, allant des cours de japonais à la découverte des glaciers, de l’autohypnose ou de la calligraphie chinoise. Pourtant, malgré la grande qualité de ces leçons dispensées par des professionnels, les effectifs des participants sont en recul.
L’an dernier, près de 900 personnes ont participé aux cours de l’institution neuchâteloise à but non lucratif, contre 1300 durant les années à succès.
Basé sur le contact humain
Comment relancer les effectifs et assurer une pérennité à ces activités? L’Université populaire a décidé...