A l’instar d’élus genevois ou vaudois et de la section fribourgeoise, l’UDC neuchâteloise a choisi de ne pas soutenir le référendum contre le congé paternité lancé par un comité interpartis PDC, PLR et… UDC.
«Il est vrai que cette nouvelle assurance sociale a un coût pour l’économie, en particulier pour les petites et moyennes entreprises. Ce coût est modeste et les milieux économiques concernés, comme l’Union patronale ou L’Union suisse des arts et métiers, l’ont bien compris en ne soutenant pas non plus ce référendum lancé par des milieux presque exclusivement alémaniques», justifie le Secrétariat cantonal dans un communiqué diffusé ce lundi matin.
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«L’évolution de la société»
«Le congé paternité prend en compte l’évolution de la société qui voit la responsabilité et la répartition des tâches au sein des couples se modifier dans un sens plus égalitaire entre les mères et les pères».
A terme, la section cantonale imagine même la mise en place d’un congé parental «ne dépassant pas le congé maternité existant et le futur congé paternité».