"Il n’aurait pas dû y avoir de leçon aujourd’hui, on est tous venus pour le reportage", précise l’une des trois fondatrices de l’association Papillon. Ce n’est pas dit sur un ton de reproche. On compte: ils sont quatorze, ces jeunes Afghans et Iraniens – la plupart ont entre 15 et 30 ans –, à s’être débrouillés pour venir des centres de requérants du canton, avec les moyens qu’on leur donne.
L’association Papillon a commencé à donner ses cours dans un petit atelier de la rue de l’Ecluse. Aujourd’hui, sur proposition de la Ville de Neuchâtel, elle peut occuper l’Espace jeunes, selon ses besoins.
Reportage complet dans nos éditions payantes de ce jour.