Regardez-les bien. Ils ont entre 15 et 31 ans et ce sont «nos» cinq apprentis-témoins. Chloé, Bastien, Mael, Camille et Victoria ont entamé leur formation tambour battant début août. A l’instar des 1610 apprentis de 1ère, cuvée cantonale 2017, ils en «ont pris» pour trois ou quatre ans. De ces années d’apprentissage, ils en sortiront adultes – sauf Bastien, âgé de 31 ans – bardés d’un certificat fédéral de capacité (CFC) et d’une matu pro pour certains, mais surtout d’une solide expérience dans leur métier.
Ce saut dans le monde des grands, nous avons voulu savoir comment ils le vivent. Est-ce dur, les horaires de la «vraie vie» ou de n’avoir plus que cinq semaines de vacances? Chouette de recevoir une paie? Déstabilisant d’être confronté à des adultes? Enrichissant, sûrement, de pratiquer enfin un métier concret.
Raconter la vie d’apprenti
Dans trois ans, Chloé sera fleuriste, Bastien, assistant en promotion...