Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Il n’y a eu ni calomnie, ni diffamation

Le journaliste Ludovic Rocchi a été acquitté sur toute la ligne après ses articles sur l’affaire Blili. Ce verdict jette une lumière nouvelle sur les décisions prises par plusieurs institutions.

11 avr. 2017, 00:20
Audience de l'affaire du journaliste Ludovic Rocchi prevenu de diffamations apres la plainte de Sam Blili, professeur a l'Universite de Neuchatel

LA CHAUX-DE-FONDS    30/03/2017
Photo: Christian Galley AFFAIRE SAM BLILI

Rien. Pas la moindre sanction. Le Tribunal régional de La Chaux-de-Fonds, hier, n’a retenu aucune des accusations portées par le Ministère public à l’encontre du journaliste Ludovic Rocchi. Ce dernier ne s’est fait l’auteur ni de calomnie, ni de diffamation. La juge Muriel Barrelet l’a dès lors acquitté, avant de mettre les frais de justice à la charge de l’Etat, de même que les frais d’avocat du journaliste, qui s’élèvent à près de 36 000 francs.

Tout ça pour ça, a-t-on envie de dire quatre ans après les faits. Nous parlons de l’affaire Sam Blili, qui a défrayé la chronique en 2012 et 2013. Dans plusieurs articles parus dans «Le Matin», Ludovic Rocchi avait accusé ce professeur de l’Université de Neuchâtel d’avoir commis des plagiats et d’avoir enrichi son CV en y ajoutant des fonctions qu’il n’avait pas exercées. Par la suite, une enquête administrative avait confirmé un «plagiat par...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias