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Herrmann: "Avec Federer, j'ai perdu mon second degré!"

Grand supporter de Roger Federer, le dessinateur Herrmann avoue redevenir un enfant lorsqu'il voit jouer le Bâlois. Mais dans "Rodger - L'enfance de l'art", il a éprouvé le besoin de s'amuser avec le personnage, le mythe et la réalité. Interview.

19 mars 2018, 18:57
Herrmann l'avoue, c'est un grand grand supporter de Roger Federer.

Scénariste de "Rodger - l'enfance de l'art", le dessinateur de presse Herrmann explique ce qui l'a amené à concocter cette histoire où le vrai et le faux se côtoient en permanence.

Herrmann, avouez-le, vous êtes un vrai fan de Roger Federer…

Oui, et je déteste être un fan. Moi qui, toute ma vie, me suis efforcé de transformer mon émotivité en deuxième degré, avec Federer, je n’y arrive pas! Lorsqu’il joue contre Nadal, par exemple, c’est insoutenable, je ne peux pas regarder le match en direct, je n’ai aucun plaisir.

Ce type-là a détruit mon deuxième degré. Alors il fallait que je me venge, que j’essaie de le retrouver. En fait, cette BD, c’est un mélange de premier et de deuxième degré. Je conserve toute mon admiration et je m’amuse autour du personnage.

Et quel personnage…

J’ai commencé ce projet il y a deux ou trois ans, lorsque Federer était...

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