Vous vous souvenez peut-être qu’il y a un peu plus d’une année, nous avions testé le bracelet électronique, avec la complicité du Service pénitentiaire neuchâtelois (Spne). En forçant un peu le trait jusqu’à aller se montrer avec à la piscine. Et ce truc à la cheville, on avait bien vu que les gens l’avaient remarqué…
Depuis le 1er janvier, on est passé de la caricature à la réalité. Douze condamnés ont choisi de porter la chose pour purger leur peine. Douze émistes (porteurs du bracelet). Ce boulet moderne, ce n’est pas pendant deux jours qu’ils ont dû le trimbaler, mais pendant plusieurs mois. Tous n’ont pas supporté.
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Certains ont même refusé d’essayer, jusqu’à avoir un mouvement de recul devant l’objet. Trop gros, trop voyant. D’autres ont quand même sauté sur l’occasion: «Ce bracelet électronique, s’il le faut, vous pouvez me le mettre...