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Des restaurateurs neuchâtelois veulent chasser les clients fantômes

Une table réservée et des clients qui ne viennent pas, c’est du chiffre d’affaires qui fond. Les restaurateurs neuchâtelois s’unissent pour trouver une solution contre ces réservations jamais honorées.

19 déc. 2018, 16:18 / Màj. le 19 déc. 2018 à 17:42
Les réservations fantômes engendrent un important manque à gagner pour les restaurateurs.

Le fléau est nouveau dans le canton de Neuchâtel: les restaurateurs se disent de plus en plus victimes de réservations non honorées – les «no show» ou «réservations fantômes». La perte peut se chiffrer en dizaines de milliers de francs par année pour certains d’entre eux.

«Mon restaurant affichait complet depuis plusieurs jours pour la Saint-Valentin. Le soir venu, je me suis retrouvée avec 18 places vides. C’est presque la moitié de mon établissement. Je l’ai encore en travers de la gorge.» A l’image d’autres restaurateurs du canton, Caroline Juillerat, patronne de La Désobéissance, à Neuchâtel, se fait régulièrement poser un lapin. Et avec les fêtes de fin d’année, sachant que son carnet de réservations se noircit, elle s’attend à une recrudescence de ce phénomène.

«En ne nous indiquant pas qu’ils ne viendront pas, les clients ne se rendent pas compte des conséquences.
Caroline Juillerat, patronne de La Désobéissance,...
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