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Des flics neuchâtelois en milieu hostile

Sur le terrain, les patrouilles de police secours de la police neuchâteloise en voient de toutes les couleurs. Parfois, le recours au groupe d’intervention est indispensable.

27 févr. 2018, 17:27
Les interventions des patrouilles policières ne sont pas toujours aisées à mener.

Les policiers... Des gros bras, comme le suggérait un récent article sur le procès d’un homme récalcitrant, cité devant le Tribunal de police? Il en existe, à n’en pas douter. Et ils sont même nécessaires pour raisonner certains gaillards aux tendances rebelles. Ces policiers au physique d’athlète ressortent du groupe d’intervention. S’ils sont souvent en première ligne, ce ne sont pourtant jamais eux qui interviennent les premiers sur la scène d’affaires relativement courantes, du style violence domestique.

Dans un premier temps, c’est une patrouille de police secours qui répond à un appel d’urgence. A deux, les policiers réussissent en règle générale à liquider la plupart des affaires qu’ils ont à traiter. Parfois non. «Les policiers sont formés à travailler dans des circonstances hostiles», indique Pierre-Louis Rochaix. «Si la patrouille est prise à partie, elle se défend. Elle cherche aussi à mettre à l’abri les autres personnes qui seraient menacées par...

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