«Serait-il plus noble ou plus utile de manier le marteau que l’aiguille ou le crochet?», se demande, dans une lettre à notre rédaction, une lectrice de Neuchâtel. Marianne Vessaz Ott ne comprend pas pourquoi «ceux (surtout celles…) qui s’adonnent aux travaux à l’aiguille ont vu leurs commerces de laine et fils se fermer» alors que les magasins de bricolage et de jardinage peuvent rester ouverts. «Alors, sexisme, ignorance ou précipitation?», se demande notre lectrice.
A Colombier, Michèle Tenot Nicati se pose à peu près la même question. Depuis plusieurs années, cette commerçante tient un magasin de laines à l’enseigne «Au fil des saisons», très fréquenté par les adeptes du tricot.
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Le Scav change d’avis
Le 15 janvier, deux jours après la décision du Conseil fédéral de fermer les commerces qui vendent des biens qui...