Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Contre-attaque du home neuchâtelois des Trois-Portes

Après l’action d’Unia, une majorité des employés du home des Trois-Portes, à Neuchâtel, soutiennent leur directrice. Celle-ci dénonce le rôle de collaboratrices licenciées, à juste titre, selon elle.

09 janv. 2019, 18:50
La lettre signée par une majorité du personnel du home des Trois-Portes, à Neuchâtel

Des «propos mensongers» ont été tenus avant Noël lors de l’action médiatisée du syndicat Unia à la Résidence des Trois-Portes, à Neuchâtel. Ils sont «gravement attentatoires à la réputation de l’établissement comme des collaborateurs professionnels qui y travaillent».

Voici ce qui ressort d’un courrier qui nous a été adressé, signé par la majorité du personnel du home. Son rédacteur a répondu à nos questions, comme la directrice de l’institution.

«Nous avons été particulièrement choqués par la violence de l’irruption d’Unia.» Cette déclaration est signée par 18 des 25 collaborateurs fixes que compte l’établissement médico-social (EMS) des Trois-Portes. Au-delà de la manière, les critiques sont «injustes», explique Robin Cart, premier signataire.

A lire aussi : Un home de Neuchâtel pointé du doigt par le syndicat Unia

«Une initiative collective»

Ce jeune infirmier souligne qu’il n’a pas de fonction dirigeante au sein du home. La lettre est «une initiative collective», sans intervention...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias