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Contrat signé, cours au CPLN, mais apprentissage impossible

Les mésaventures d'une jeune Nord-Africaine.

24 déc. 2014, 00:01
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"Peut-on faire quelque chose pour elle?"

Cette question figure à la fin d'un mail envoyé la semaine dernière à quelques personnes par un responsable du CPLN, à Neuchâtel, mail qui est parvenu à notre rédaction. "Elle", c'est Loubna, prénom fictif que nous avons choisi pour une femme de 28 ans installée dans les Montagnes neuchâteloises. Après avoir quitté son pays d'Afrique du Nord, elle travaille depuis le mois d'août comme apprentie dans une boulangerie, et elle suit les cours pour boulangers-pâtissiers-confiseurs dispensés par le CPLN (Centre professionnel du Littoral neuchâtelois). Loubna, au terme de sa formation, a l'intention de rentrer dans son pays pour ouvrir une boulangerie de style européen.

Motivée et appliquée

"C'est mon but et je travaille dur pour l'atteindre" , confie-t-elle. "Je n'ai pas envie d'apprendre le métier dans mon pays, car la formation est moins bonne. Je suis soutenue financièrement par mes parents et je paie...

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