Pas touche à l'hymne national pour la chanteuse Angie Ott et le défenseur du Young Boys Steve von Bergen. "La dernière fois que je l'ai chanté, c'était une vraie cacophonie, chacun chantant dans sa langue", raconte Alain Ribaux, président du Conseil d'Etat de Neuchâtel. Qui propose un nouvel hymne avec une strophe dans chaque langue nationale.
Nathalie Schallenberger, présidente de la ville de La Chaux-de-Fonds, n'est pas contre un changement "car il faut être ouvert comme notre Constitution qui parle de démocratie et de liberté". Quant à l'ethnologue Jacques Hainard, "l’hymne en soi n’est pas capital, alors le contenu des paroles... Pourquoi les changer? Tout va bien, autant garder cette chanson abracadabrantesque!"
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