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Cinq conseils pour une cohabitation harmonieuse avec vos voisins

Laura Calabrese est formatrice d’adultes, coach et thérapeute. A l'occasion de la fête des voisins, elle nous donne cinq conseil pour une cohabitation harmonieuse.

25 mai 2018, 11:31
La Fête des voisins organisée dans le quartier de Pierre-à-Bot fera coup double ce soir: elle intégrera le repas de rupture du ramadan.

«Mes propres relations avec mon voisinage sont le reflet de mes valeurs et de ma personnalité. Un précepte qui résonne fort en moi est: ne fais pas aux autres ce que tu ne souhaiterais pas que l’on te fasse! De par ma vie professionnelle très active, j’ai besoin, quand je suis à la maison, de m’y sentir comme dans mon cocon. Je ne suis donc pas la voisine proactive qui va organiser le barbecue dans le jardin, mais je m’y rendrai très volontiers si je suis disponible.» La coach s’est fixé cinq règles pour vivre en harmonie avec ses voisins:

1. Vivre dans le respect

Cela peut aller dans le choix des pantoufles (les plus souples seront les plus confortables et les plus silencieuses). Mes voisins font une à deux fois la fête en jouant les prolongations, parfois ils écoutent fort la télé ou la musique, mais cela reste ponctuel. Et, comme il peut m’arriver de faire de même, si j’accepte, ils accepteront aussi!

2. S’entraider

Cela peut aller dans les plus petits gestes et signes du quotidien: tenir la porte d’entrée, signaler un oubli de phares allumés, prendre le paquet du facteur en l’absence de l’autre, etc.

3. Transmettre la bienveillance

Un peu de douceur dans ce monde de brutes... Dire bonjour avec le sourire, cela change le quotidien. Il y a cependant des jours où nous sommes plus préoccupés, perdus dans nos pensées, qui font que peut-être nous ne le faisons pas. A nous d’accepter que cela puisse arriver à nos voisins également.

4. Collaborer

J’aime que les alentours de ma maison soient propres. J’ai un chien et je nettoie toujours ses déjections. Si des papiers traînent par terre, je sais que je peux inutilement pester et m’interroger sur l’autre (fait-il de même chez lui?) ou ramasser sans réfléchir.

5. Exprimer ses besoins

S’il y a des interactions qui sont importantes, les nommer. Souvent, la buanderie est un lieu de frictions. Si l’on se focalise sur un problème (local non balayé par exemple) et que l’on en parle dans la colère, nous ne construisons rien. L’idéal? Discuter en exprimant son ressenti (le plaisir de trouver une buanderie propre) et ses besoins (si le linge devait tomber par terre, il ne se salit pas) et inviter l’autre à exprimer ce qu’il en est pour lui.

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